Astrophysique à Haute Energie

Unveiling the origin of the high energy emission at the center of our Galaxy and its possible connection with the past activity of SgrA*

The center of our Galaxy hosts a Super-Massive Black Hole (SMBH). Since it has been argued that the SMBH can accelerate particles up to very high energies, its current and past activity must contribute to the population of Galactic cosmic-rays (CRs), the energetic particles that pervade the Galaxy. Ten years ago the HESS experiment has reported a bright TeV point-like source at a position compatible with that of the SMBH. After subtraction of this point source, a diffuse emission stretching over few degrees along the Galactic longitude was revealed.

Synthèse de population de nébuleuses de pulsars

L'effondrement gravitationnel qui marque la mort d'une étoile massive engendre la plupart du temps une étoile à neutron fortement magnétisée en rotation rapide: un pulsar. Comme ces événements sont rares on connaît très mal la distribution des périodes de rotation à la naissance qui peuvent aller de quelques ms à quelques centaines de ms. Les pulsars ralentissent très rapidement et leur énergie rotationnelle est convertie en un vent de particules chargées relativistes qui, une fois confinées par le milieu ambiant, créent une nébuleuse de pulsar.

Characterization of the Laser Beacon for KM3NeT/ORCA

ORCA (Oscillation Research with Cosmics in the Abyss) is the low-energy branch of KM3NeT, the next-generation neutrino Cherenkov detector currently being built in the Mediterranean Sea with the aim of measuring the neutrino mass ordering and searching for high-energy cosmic neutrino sources [1]. The ORCA detector will consist of a dense configuration of 115 vertical strings with an horizontal spacing of 20m, supporting 18 digital optical modules and anchored on the seabed off the shore of Toulon, France.

Synthèse de population de nébuleuses de pulsars

L'effondrement gravitationnel qui marque la mort d'une étoile massive engendre la plupart du temps une étoile à neutron fortement magnétisée en rotation rapide: un pulsar. Comme ces événements sont rares on connaît très mal la distribution des périodes de rotation à la naissance qui peuvent aller de quelques ms à quelques centaines de ms. Les pulsars ralentissent très rapidement et leur énergie rotationnelle est convertie en un vent de particules chargées relativistes qui, une fois confinées par le milieu ambiant, créent une nébuleuse de pulsar.

La Galaxie au-delà du TeV avec HESS-2 et CTA

Plus de cent ans après leur découverte, les rayons cosmiques galactiques demeurent encore mal compris. Pour expliquer le spectre des cosmiques détectés au sol, il doit en effet exister des sites d’accélération de particules capables de produire des protons de plusieurs PeV (10^15 eV), les PeVatrons. Or, à ce jour, nous n’avons pas détecté de manière claire de tels sites. Pourtant, l’interaction de ces protons avec la matière ambiante doit produire un spectre de rayons gamma s’étendant au-delà de la dizaine de TeV. 

L'origine des rayons cosmiques

Les rayons cosmiques sont des protons relativistes (plus une petite fraction d'électrons et des noyaux d'atomes) qui atteignent la Terre de n'importe quelle direction dans le ciel avec la même intensité. Ils ont été découverts en 1912, mais nous ne savons toujours pas comment et où ils sont accélérés. Résoudre le problème de l'origine des rayons cosmiques est extrêmement important pour comprendre les mécanismes par lesquels les particules sont accélérées jusqu'à des énergies ultra-relativistes.

Simulations PIC-MHD de l'accélération de particules dans une turbulence magnétisée

L'accélération des rayons cosmiques dans l'Univers est aujourd'hui un
des sujets majeurs de recherche en astrophysique. D'un point de vue
global, ce phénomène d'accélération traduit une dissipation d'un
réservoir d'énergie ordonnée, cinétique ou magnétique, en énergie
désordonnée d'un gaz de particules. Les ondes de chocs sans collision,
l'interaction avec une turbulence magnétisée ou la reconnexion
magnétique sont les agents de dissipation les plus couramment
envisagés.  Durant la dernière décennie, l'avènement des simulations

Développement d'un estimateur de temps d'observation pour l'observatoire astrophysique CTA

Le projet CTA (Cherenkov Telescope Array) porte sur la réalisation d'un observatoire astrophysique avec près de 100 télescopes dédié à l'observation en rayons gamma de phénomènes de très haute énergie. Comme tout observatoire, une partie du temps d'observation sera ouvert à l'ensemble de la communauté astrophysique internationale. Notre équipe développe une plateforme pour la soumission des propositions de demandes d’observations et l’évaluation de ces propositions par un comité international.

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