De nouveaux signaux précoces pour quantifier la magnitude des forts séismes

Les phénomènes géophysiques engendrent des perturbations de la gravité "newtonienne". Si celles-ci ne sont pas des ondes gravitationnelles, des intérêts communs, en particulier sur les techniques de mesure, rapprochent les deux communautés. Les études publiées dans Nature Communications en 2016 (Montagner et al.) et dans Science (Vallée et al.) prennent leur origine dans un projet d' APC et IPGP en collaboration avec des chercheurs aux US et en Italie, dans le cadre du Labex UnivEarthS. L’APC et l’IPGP collaborent aussi dans le cadre du projet ANR « E-GRAAL » (Earthquake GRavity Alerts), dont le but est l’étude de la faisabilité d’un système d’alerte rapide des tremblements de terre basé sur ces signaux de gravité.

Voir l'article de Science

Voir article Science Mag

Voir communiqué de presse du CNRS